giovedì 23 gennaio 2014




Il fumetto narra le ultime ore di vita della bestia misteriosa e ancora oggi sconosciuta che, a cavallo tra il 1764 e il 1767, uccise decine e decine di persone, principalmente donne e bambini. Un oste di un villaggio sperduto dell’Alta Loira, Jean Chastel, pose fine alla sua esistenza entrando così nella leggenda … insieme alla creatura che uccise.




Aucune autorité dans le domaine de la Bête, ne me permet de donner une quelconque caution officielle à une œuvre qui s’inspirant largement de faits historiques, garde sa part de subjectivité et entretient  le mystère autour de deux acteurs majeurs de cette affaire : la Bête et Jean Chastel.
C’est donc  plus l’expression d’une amitié sincère née sur les chemins de la Bête qui me permet de témoigner des qualités humaines de l’auteur venu de Rome s’imprégner des particularités du Gévaudan où il a rapidement compris la personnalité et le courage de ses habitants auxquels , en quelque sorte , il rend hommage en ne présentant que les combats contre la Bête que certains de leurs ancêtres  ont menés par eux mêmes, jusqu’à l’éliminer définitivement. Beaux exemples de ce que peut faire la volonté et la responsabilité des gens de terrain.
Ceci étant, savourez particulièrement la structure et la qualité des dessins d’un auteur qui se révèle et pour lequel  je n’ai aucun doute sur l’avenir dans cette voie où se confirme son talent.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                     Michel  Pranal      




De 1764 à 2014, de la France à Québec en passant par l’Allemagne, l’Italie, l’Angleterre, depuis un quart de millénaire une affaire aux dimensions mondiales fait toujours parler d’elle. L’histoire de la bête du Gévaudan a eu, au dix-huitième siècle, des répercussions dans la France entière, chez nos voisins européens et même outre Atlantique. On connait, par exemple, une « Relazione » italienne datant des années 1765. Il s’agissait là d’une simple reprise d’articles parus dans les journaux français mais cela nous montre bien l’impact qu’a pu avoir cette histoire extraordinaire sur les esprits de l’époque. Le fait est que 250 ans plus tard on en parle encore, en France bien sûr, mais aussi ailleurs car James Fantauzzi est italien. Il s’intéresse depuis longtemps à cette fabuleuse  histoire et est venu plusieurs fois en Gévaudan suivre les traces de la bête. James est aussi un dessinateur de talent et il a souhaité le mettre au service de la fin de l’affaire en imaginant comment a pu se dérouler la dernière chasse. Il nous livre donc ici, dans un graphisme épuré, sa vision des ultimes instants de la bête, une vision tout à fait plausible et en tous cas, très réussie sur les plans de l’ambiance et de l’esthétique. On a simplement envie de lui dire :
« A presto … pour une histoire plus complète de la bête du Gévaudan ! »
Bernard Soulier
Président de l’association d’Auvers « Au pays de la bête du Gévaudan »


et auteur de « Sur les traces de la bête du Gévaudan et de ses victimes » aux éditions du signe.




E' già disponibile presso molti store la versione cartacea del fumetto in oggetto (http://www.youcanprint.it/youcanprint-libreria/narrativa/chastel-vainqueur-fantauzzi.html).

J.F.



Salve,
ho finito di leggere Chastel con l’ausilio di un dizionario francese-italiano e della mia memoria che rimembra frammenti di quella bella lingua che studiai secoli fa e sono rimasto colpito dalla qualità dei disegni oltre che dalla storia che non conoscevo. Davvero bizzarra questa storia della bestia del Gevaudan e ringrazio, ancora una volta, Fantauzzi per questo magnifico regalo. Data “l’ouverture” dell’autore verso la cena (alla quale io ci sarò) ripropongo l’opzione della pagina Fb per promuovere sue opere.

Saluti a tutti.

Carlo



Finito di leggere Chastel. E' davvero una bella e incredibile storia che ci proietta nella Francia pre-rivoluzionaria. I disegni sono proprio "adatti" al periodo. Complimenti all'autore. 

Di Bari Giuseppe   


Avevo la sensazione che questo "Chastel" mi avrebbe colpito prima di leggerlo e così è stato. Siamo lontani dalla critica disamine sociale e dall'estremo umanesimo di Spartacus e L'Eretica ma questo Chastel, che è comunque un'opera storica (o meglio, storiografica), ci descrive con disegni accuratamente cupi, suggestivi e spettacolari ciò che è accaduto la sera prima e la mattina del 19 giugno 1767 quando un inquietante contadino/bracconiere del Gevaudan (oggi Lozère) uccide la misteriosa creatura che ha mietuto decine e decine di persone in 3 anni di stragi. Una creatura sconosciuta che ancora oggi è oggetto di dibattiti scientifici e giornalistici molto accesi. 
Grazie ancora per la sua erudizione e vivissimi complimenti per la sua vastissima cultura, Fantauzzi.

Elena (Vasto)



Pubblico con estremo onore e infinito piacere la trascrizione della missiva inviatami dallo scrittore e saggista francese Guy Crouzet, autore di libri sulla bestia del Gevaudan. In una conferenza stampa di pochi anni fa egli presentò ufficialmente il fucile originale (oggi in dotazione di un collezionista anonimo), dal quale, secondo le fonti, uscirono le pallottole che uccisero la misteriosa creatura il 19 giugno 1767.


Cher James,
j’ai été très heureux – et honoré – de recevoir un exemplaire dédicacée de votre belle publication. Je l’ai “dévorée” d’un trait (à la manière finalement de la bête…). Très agréable, bien conçue:
-     Elle ne déforme pas la réalité historique, comme l’ont fait certains films tapageurs, ou des écrits romancés ; elle redonne vie par l’image à des faits averes. C’est à mes yeux essentiel : la fidelité à l’histoire !
-    Et quelle images ! Vous avez été bien inspiré de choisir le noir et le blanc : la couleur aurait amoindri l’ambiance dramatique qui convient au sujet. Finesse du trait, des clairs-obscurs tres agreables, pas d’image « bavardes » qui dispersent l’attention, la decomposition en sequence de certaines entre elles qui fait penser aux images d’un film (ex. l’agression de M.J. Valet).
Quelle beauté « refraichissante » que cette scène de la mise en place des chasseurs de Paulhac ; et ce lever du jour, au matin du 19 juin 1767 !!!
Mes compliments donc pour vos talents de dessinateur (et vos dispositives bien réelles pour devenir sans doute, un jour, cinéaste !).
Je poursuis quant à moi mes recherches ; mais les trouvailles se font rares. Ce qui me motive encore sont les betises delirante qui ont été, et sont encore, écrites !
Merci pour votre délicatesse.
Et bien cordialment

G. Crouzet     

Trad.

Caro James,
sono felice e onorato di ricevere una copia dedicata della vostra bella pubblicazione. L'ho "divorata" tutta d'un fiato (alla maniera della bestia...). Molto piacevole e concepito molto bene:
- non distorce la realtà storica, come fanno certi film commerciali, o degli scritti romanzati; rida vita tramite immagini a fatti dimostrati. Ciò è dal mio punto di vista essenziale: la fedeltà alla storia!
E che immagini! Siete stato molto ispirato nello scegliere il nero e il bianco: il colore avrebbe banalizzato l'atmosfera drammatica che conviene al soggetto. Tratto fino, chiaroscuri molto piacevoli, senza immagini "ridondanti" che disperdono l'attenzione, la decomposizione in sequenza di alcune di esse fanno pensare ad un approccio cinematografico (ad es. l'aggressione di M.J. Valet).
Che bellezza "rinfrescante" la scena della disposizione dei cacciatori di paulhac; e quell'alba la mattina del 19 giugno 1767!!!
Complimenti dunque per il vostro talento di disegnatore (e la vostre predisposizione per diventare un giorno, senza dubbio, un regista cinematografico!).
Io continuo a fare ricerche ma le scoperte sono sempre più rare. Ciò che mi spinge ancora a farle sono le stupidaggini deliranti che sono state, e sono ancora, pubblicate.
Grazie per la sua delicatezza.

Cordialmente.

G. Crouzet





Bonjour,
je suis heureuse de savoir que mon petit copain d’enfance, James, soit devenu si important que ça en Italie. Je ne connais pas la langue italienne mais j’achèterais tout ses ouvrages. Je viens de lire « Chastel » et sa beauté m’a fais venir des frissons. Mon père était de Puy en Dôme, ancien Gévaudan, et il aurait aimé cette BD mais hélas il ne peut plus le lire ici. Je suis pourtant sure qu’il a lu ce chef d’œuvre du paradis.  
En me rappelant les vieux temps à ta fenêtre au 6° étage de Vaulx-en-Velin, je t’embrasse fort à toi et ta famille.

Christine  Forner (Marseille)